dimanche 6 mai 2012

Ma vision du progrès


Jour1 - Question : Quelle est votre vision personnelle du progrès ?

Pour cette question, je crois que le fait que je réponde un peu plus tard dans le cours (soit après la première semaine, où un tiers du cours est déjà passé), je biaise un peu ma perception personnelle, car je peux m’inspirer un peu des dires de Mathieu Roy et Hélène Tremblay.  Premièrement, les questions à se poser sont : Qu’est-ce que le progrès? D’où vient le progrès? Comment est-ce qu’on s’est rendu à la société, l’avancement technologique et la vie d’aujourd’hui? Pourquoi sommes-nous rendus à ceci ? (Un peu comme Simon avait écrit le 3 mai).  Évidemment, plusieurs questionnements se soulèvent en réfléchissant à ces idées.   

Pour moi, quand je pense au progrès je pense au terme avancement.  L’avancement sociétal, économique, technologique, scientifique et ainsi de suite.  C’est un changement qui fait en sorte que nos sociétés se modifient, évoluent et se transforment.  Pour moi, le progrès devrait être quelque chose de positif, qui aide à notre société à mieux gérer et mieux entreprendre le futur de notre planète et nos collectivités.  Par contre, on peut voir que le chemin du progrès n’a certainement pas pris la même tournure que ma vision personnelle. 
L’être humain s’est centré sur l'avancement économique, technologique et scientifique (qui regarde au bien-être des plus riches, au détriment de ceux qui souffrent le plus certainement! ; et sans dénier des bienfaits de ces avancements).  En se faisant, ceci fait en sorte que la société dévalorise le progrès environnemental et social, qui cherche le bien-être du plus grand nombre.  Qu’est-ce qui est mis en valeur en société, c’est l’argent, le pouvoir et le profit.  

Comme Stéphane avait écrit le 30 avril :
« Le progrès n'est pas la cause de la situation néfaste qu'on voit sur la planète. La cause c'est l'égoïsme de l'homme ».

De plus, quand on pense que le progrès est dirigé par les plus grandes corporations du monde, c’est inquiétant.  Ceci dit, pour moi, le progrès ne représente plus nécessairement quelque chose de positif.  Plutôt, ce terme signifie un besoin pour le changement, et un glissement de valeur plus collectif qu’individualiste.  On a besoin d'une libération des valeurs axées sur le progrès qui encombre la durabilité de notre seul habitat, la terre. 

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